Événements

« Danser le corps-territoire est une rencontre écosomatique avec les territoires où sont nés mes quatre grands-parents. C’est une transposition chorégraphique, visuelle, et sonore, des affects sensoriels qui ont émergé l’été dernier lors de la rencontre avec ces territoires, considérés comme collaborateurs artistiques de ma recherche-création.

Affleurements, un espace-archive, présente une sélection d’archives visuelle et sonores en lien avec le processus de recherche-création dans son ensemble. »

« Le CoRC 2025 propose des formats hybrides, dans le but de favoriser les dialogues entre les espaces de création, le milieu universitaire et l’industrie culturelle afin d’enrichir la réflexion sur les savoirs et méthodologies propres à la recherche-création. Nous vous proposons deux types de soumissions au choix ou cumulatives :  

• Une conférence : visant à ancrer la communication de la recherche dans le corps, dans l’action et dans l’interrelationnel. Toute forme de communication est acceptée : présentation classique, conférence-performance, performance, vidéo, workshop, et toutes autres formes et hybridations tant qu’il s’agit d’une transmission de savoir pouvant être présentée dans l’espace disponible et dans le temps imparti. Le temps maximum par intervention est de 30 minutes (20’ pour l’intervention et 10’ pour questions et échanges).  

• Une œuvre : visant à renforcer le lien de la recherche-création à la matérialité dans le cadre d’une exposition collective. Il est à noter que vous devrez assurer vous-même le transport et l’accrochage de l’œuvre. Nous ne pouvons pas garantir l’espace consacré à chaque œuvre pour l’instant. »

« Le symposium « La pluralisation dans les mondes de l’art » réunira cinq étudiant·es au Doctorat en études et pratiques des arts (DÉPA) qui présenteront les croisements entre leur projet de recherche et la pluralisation, notamment les questions de visibilité et de validation de pratiques artistiques minorisées, marginalisées ou altérisées. »

« Du passage fragmenté de l’hiver au printemps, penser l’hybridation des saisons par les corps, les affects et les mots entrelacés de Femmes Glacielles; Vanessa Bell (Fendre les eaux : apprivoiser la baignade nordique), Karine Cote-Andreetti (Ports d’attache : Osons révolutionner nos amitiés!) et Catherine D’Amours (Les paysages intérieurs : Solastalgie, mémoire et territoire).

Une discussion croisée de trois autrices et Hiver en nous, qui se laissent porter doucement, tel le glaciel, qui se rapporte à « l’ensemble des états, processus et effets des glaces flottantes » (Hamelin, 1994., 54-55) comme des déclarations écopoétiques d’amoures et d’amitiés aux lieux qu’elles habitent et qui les habitent en retour.

Cette table-ronde explorera la notion de «rituel», comme pratique politique, et des «alliances», comme liens aux autres qu’humains, pour stimuler «le pouvoir d’agir», individuel et collectif, et faire émerger des nouveaux modes de pensée et d’action face à la crise climatique en contexte nordique. »

« Nous traversons chaque jour des couloirs, des halls, des quais de transport ou autres bureaux vides. Parfois, souvent la nuit, nous sommes les dernier·ères à nous y trouver. Se dégage alors de ces lieux, que l’on regroupe sous le terme de liminal spaces – ou espaces liminaires – une certaine tranquillité teintée d’inconfort. Véritable métaphore de notre époque, inquiétante mais débordante de potentiels et de portails vers d’autres mondes, ces non/lieux vont nous révéler toute leur profondeur et la capacité qu’ils ont de nous aider à penser au-delà des crises qui nous accablent. »

« Prenant le parti de réfléchir la triade Corps/Care/Cœur, cette journée d'études portée par Agnès Callu et Yamile Villamil Rojas entend interroger les ressorts théoriques et plastiques déployés par les artistes engagés dans une Recherche-Création. Elle pose la place ontologique des œuvres et questionne les dispositifs d'élaboration critique qui, pour faire valeur, obligent l'appel à la « pensée complexe » requise par une interdisciplinarité des instruments d'analyse. »

« La démarche de Lefebvre consiste en effet à proposer une densification sensible des cœurs villageois en s’inspirant de la composition historique des villages au Québec. Elle l’actualise cependant en y introduisant des typologies d’habitations inédites qui nous invitent à remettre en question ce qu’est une architecture résidentielle acceptable. Depuis des croquis réalisés sur le terrain en passant par de petites maquettes intermédiaires, l’exposition présente le processus qui a conduit à la conception de trois maquettes à l’échelle 1 :50 qui figurent ces typologies nouvelles. »